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Jacques Halbronn, docteur �s Lettres � � A la m�moire de Jacques Reverchon � � �
Le communisme a jou� un r�le important dans la recherche en astrologie mondiale d'Andr� Barbault�; on peut m�me dire que c'est par cet angle l� que l'on p�n�tre le mieux ses m�thodes de travail, le traitement s�mantique des textes qu'il produit, pour le pire et pour le meilleur. On peut d'ailleurs raisonnablement supposer que c'est sur ce sujet que Barbault aura connu ses plus grandes joies et ses plus grandes d�convenues... On suivra donc Barbault, sur pr�s de cinquante ans, depuis 1945, avec l'Astrologie Agricole, qui comporte un appendice sur les cycles et o� il aborde le cycle Saturne-Neptune jusqu'aux approches imm�diates de l'An 2000. Il est rare, pour l'historien du texte proph�tique que nous sommes, de pouvoir suivre un astrologue ou un proph�te sur une aussi longue dur�e, commentant ainsi lui-m�me ses propres textes, refl�tant in�vitablement les enjeux id�ologiques de son temps, en tout cas de sa g�n�ration. 1.����� Une mort providentielle�: 1953Devant r�diger un article pour la fin de l'ann�e 1952, dans le quotidien, l'Yonne R�publicaine, le journal qu'A. B. lisait d�j� avant guerre, celui-ci fait remarquer que la conjonction Saturne-Neptune va � formule qu'on appr�ciera plus loin � se reproduire. Or c'�tait, note A. B., cette m�me configuration qui s'�tait form�e en 1917, ann�e de la R�volution d'Octobre. Pourquoi, d�s lors, ne pas annoncer un �v�nement important pour la Russie, en 1953�? Trois mois plus tard -puisque l'article consid�r� para�t pour le premier de l'an, Staline mourrait. C'est ce que l'on peut appeler une pr�vision � court terme avec des outils � long terme. Cela dut �tre pour Barbault, qui venait de franchir le cap de la trentaine, une grande satisfaction encore que nous n'avons pu v�rifier s'il s'en �tait vant� dans les mois qui suivirent dans une revue. �Cependant, la lecture des journaux de l'�poque permettait de se rendre compte que les choses bougeaient et pourraient aboutir � quelque changement en Russie, m�me sans la mort de Staline qui n'est m�me pas un assassinat et qui en soi �chappe peu ou prou � l'astrologie. Car qu'est ce que cet astrologue "moderne" qui croit que la mort "naturelle" est inscrite dans les astres�? Il aurait �t� en r�alit� plus convaincant si Staline avait �t� d�chu. Toujours est-il que, d�s lors, Barbault fera figurer la date de 1953 au m�me titre que celle de 1917 comme �tant "la" date importante depuis la R�volution d'Octobre. En r�alit�, la conjonction s'�tait d'abord d�j� form�e en 1952 et l'ann�e suivante, elle se reforme du fait des r�trogradations. D'ailleurs quand AB publie en 1945 son Astrologie agricole, il avance la date de 1952 et non de 1953. Autrement dit, le pronostic pour 1953 sent d�j� le r�chauff�. Il concernait initialement l'ann�e pr�c�dente. A aucun moment A. B. ne s'en est expliqu�! On peut d'ailleurs se demander pourquoi il n'a pas donn� l'ann�e 1952...Tout se passe comme si A. B. s'�tait aper�u, au vu des �v�nements qui se pr�paraient alors � Moscou, qu'il serait judicieux de se brancher finalement sur la "queue" de cette conjonction. Peut-�tre � qui sait�? � A. B. n'avait-il pas eu l'opportunit� de publier son travail plus t�t�? Au demeurant, il faudra encore quelque temps, notamment le XXe congr�s du Parti Communiste d'Union Sovi�tique (PCUS)de 1956 pour que l'on puisse vraiment parler d'un nouveau cycle. Quant au moment o� ce cycle, historiquement sinon c�lestement, va s'achever, cela est largement sujet � d�bat. Mais reconnaissons que sur le moment et sans recul cette mort de Staline a pu frapper les lecteurs et plus encore l'astrologue A. B. qui en fait une affaire personnelle. De l� � faire de cette mort l'�v�nement principal entre 1917 et 1989, il n'y avait qu'un pas�! En effet, par la suite, on peut �tre surpris que cette date reste en �vidence dans les travaux de Barbault non pas comme une fin de cycle, mais comme "la" fin du cycle engag� en 1917 � la maladie et la mort de L�nine ont eu un effet �galement marquant, qui aboutit pr�cis�ment � l'av�nement de Staline � d'autant que son syst�me exige une certaine pr�cision, en raison des subdivisions mises en oeuvre, sur la base des aspects. 1953 n'est pas 1956. L'histoire de l'Union Sovi�tique comporte d'autres �ch�ances d'importance au moins �gale. 1953 ne rev�t cette importance que parce qu'elle fonde le cycle Saturne-Neptune�! et parce que A. B. s'est impliqu� dans son processus. En r�alit�, on a du mal � comprendre ce que peut vouloir signifier un pronostic de la fin d�cembre 1952 concernant un �v�nement se produisant tous les 36 ans�! S'il s'agit d'une p�riodicit� aussi longue, il va de soi qu'elle se sera probablement manifest�e d�j� en 1952 de la m�me fa�on que A. B. attribue les �v�nements de 1848 � cette m�me conjonction survenue deux ans plus t�t�! Que signifie d�s lors un pronostic aussi tardif alors que l'astrologue est cens� d�j� vivre en cette nouvelle p�riode�: qu'a-t-il � annoncer qu'il ne connaisse d�j�? On le con�oit�: s'il avait rappel� que cette date lui tenait particuli�rement � c�ur, on lui en aurait fait le reproche. En revanche, en pr�sentant cette date "� froid" comme une �vidence historique r�trospective, cela passait mieux. Apr�s 1989, A. B. baisse la garde et reconna�t son investissement personnel de fa�on � constituer un "doubl�". A. B. aura donc annonc� et pas seulement expliqu� apr�s coup et 1953 et 1989. En r�alit�, ce pronostic de d�cembre 1952 corrige celui de 1945. 2.����� La proph�tie du plan septennalEn 1963, A. B. publie un petit livre, chez Albin Michel, qui annonce la prochaine supr�matie de l'URSS ou plus exactement la confirmation d'un processus en cours, symbolis� par l'industrie spatiale sovi�tique. C'est "la Crise mondiale de 1965.Pr�visions astrologiques" avec comme date de r�f�rence 1964. C'est justement et cela n'est nullement un hasard-ce qu'affirme un Nikita Khrouchtchev dans son Rapport au XXIe congr�s extraordinaire du Parti Communiste d'Union Sovi�tique (PCUS) et notamment dans un texte intitul� "Les chiffres de contr�le du d�veloppement de l'�conomie nationale de l'URSS pour 1959-1965". Texte prospectif dont A. B. fait son beurre. Comment Barbault a-t-il pu croire que les dates avanc�es par Khrouctchev pouvaient �tre pertinentes sur le plan astrologique�? Car il ne saurait bien entendu s'agir d'une co�ncidence, Barbault a bien calqu� sa proph�tie sur celle du plan septennal, qui ne fut d�cr�t� qu'en 1959. Un texte traduit en fran�ais paraissait dans la Collection "Etudes Sovi�tiques"�: le Septennat sovi�tique (1959-1965)" et ce n'�tait point l� un ouvrage r�trospectif. Reverchon, dans son �tude critique, Valeur des jugements et pronostics astrologiques, fascicule bilingue qui porte aussi un titre anglais, Value of the astrological judgements and forecasts (D�partement 91, Yerres) souligne, en 1971, ce rapprochement sans pr�ciser que A. B. a purement et simplement emprunt� � Mr K. Un assez mauvais calcul, au demeurant car soit le pronostic s�av�rait juste et on aurait pu reprocher � A. B. d'avoir fond� sa pr�vision sur une autre pr�vision bien assur�e, soit - comme ce fut le cas - le pronostic �tait d�menti par les faits et l'astrologie n'en sortait pas grandie. En r�alit�, rien d'�tonnant�: pourquoi l'astrologue ne ferait-il pas alliance avec le politique ou l'�conomique pour �tayer son propos pr�visionnel, quitte � commettre un d�lit d'initi� �? Qu'est ce que ne seraient pas pr�ts � faire certains pour prouver qu'ils ont bien servi l'astrologie �? La d�cennie Soixante d�bute dans l'euphorie[1] dans le camp communiste et Barbault est emport� par cet enthousiasme aux relents proph�tiques. Il reprend mot pour mot, date pour date, l'argumentation sovi�tique et communiste, pensant ainsi cr�dibiliser, avant et surtout apr�s coup, son pronostic concernant le trigone Saturne-Neptune. Il lui faudra assez vite d�chanter et il passera sous silence ce grand rendez-vous de 1965 qui aurait du correspondre � un d�passement �conomique des USA par l'URSS, selon les termes m�mes de Khrouchtchev. On sait qu'il n'en fut rien et que ce sont les am�ricains et non les russes qui d�barqu�rent les premiers en 1969 sur la Lune, malgr� la pr�diction de Barbault. Ce spectacle � la t�l�vision a du sonner un temps le glas de ses vaticinations. Encore en 1967, dans Les Astres et l'Histoire (p. 309), il tient le pari de la victoire communiste. Pour cette �tape d'antith�se � de 1965 � 1972 � ��Mais ni le trigone Saturne-Neptune, ni l'opposition Saturne-Neptune ne parviendront � inverser les rapports de force entre les deux super puissances��. En 1989, dans l'Astrologue, Barbault cite divers textes concernant sa pr�diction. Or, curieusement, il omet de mentionner le texte suivant�: pp. 308-30, (paru dans Les Astres et l'Histoire)�: ��� la th�se, nous savons que les deux partants Am�ricains et Russes pos�s, le premier avec une sup�riorit� et une avance, le second une inf�riorit� et un retard, dans la finalit� d'une domination mondiale. A la synth�se nous avons vu se pr�senter la perspective de l'enfantement d'une soci�t� nouvelle, issue de cette double �volution mais o�, en tant que tendance, le second partant aurait l'avantage sur le premier.�� Il lui en pr�f�re un autre, figurant dans le m�me ouvrage�: ��Ces deux partants sont en fin de course, l'un l'autre, pour la derni�re destination de 1988-1989, � l'�ch�ance de laquelle le monde tend � se renouveler pour enfanter une nouvelle soci�t�.�� Cette derni�re formule est reprise apr�s 1989 �: ��Or, ces deux partants arrivent ici en fin de course au m�me point et au m�me moment, comme pour se fondre en un unique courant. Cette destination commune et unique de 1989, c'est l'�ch�ance � laquelle le monde tend � se renouveler pour enfanter une nouvelle soci�t�.�� (L'avenir du monde, p. 145) Le choix par A. B. des textes qui attestent de sa pr�diction n'est nullement innocent. Dans un cas, il s'agit bien de la victoire annonc�e de l'Union Sovi�tique sur les USA en termes �conomiques et il est typique que A. B. ne cite aucun passage de sa Crise mondiale de 1965�: ��Tout donne finalement � penser qu'� l'arriv�e de l'opposition de 1971-72, l'URSS vivra (...) un temps de d�passement en ayant "doubl�" les USA.�� (p. 98) Dans l'autre cas, il est vaguement question d'une nouvelle soci�t� � l'�chelle mondiale... Ce qui ne mange pas de pain. A. B. en �vacuant ses propres formules malheureuses sur la prochaine victoire du communisme trahit ainsi son malaise. D�cid�ment, l'opposition Saturne-Neptune ne donne pas grand chose. Entre 1953 et 1989, on obtient 1971 et c'est alors que Reverchon, dans un texte bilingue, fait un constat d'�chec... Certes, 1989 rach�tera... 1971. Mais, il ne s'agit pas de jouer au casino, surtout si l'on se sert d'un m�me cycle�: un succ�s ne saurait dans ce cas compenser un �chec�! L'astrologie n'est pas le tir � l'arc�! En tout �tat de cause, dans quel �tat d'esprit se trouvait A. B. au lendemain de cette opposition Saturne-Neptune si d�cevante tant pour les communistes suivant la ligne de Khrouchtchev que pour les astrologues suivant la ligne de Barbault�? Pudiquement, dans ses Entretiens (Pierre Horay) avec Mich�le Reboul, A. B. note en 1978�: ��Une large confirmation de corr�lations successives ayant �t� obtenue, nous nous sentons autoris�s (sic) � pronostiquer une �tape capitale pour le communisme et l'Union Sovi�tique � la nouvelle conjonction Saturne Neptune de 1989 et une crise pr�alable sous le carr� de ces astres qui se produira en 1980.�� (p. 86) A cette date, il n'est pas dispos� � reconna�tre son �chec. Il en sera diff�remment en 1989 dans l'Astrologue�: ��Par contre, autant reconna�tre que j'ai tr�buch� sur l'opposition de 1971-1972 (180�) estim�e pouvoir correspondre � un d�passement de la puissance �conomique am�ricaine (!)�� (p. 4) Mais comment se fait-il qu'A.B. ne propose pas une autre lecture de cette opposition�? Il ne suffit pas de d�clarer que l'on a tr�buch�, il eut convenu de corriger le tir�! Sinon, c'est r�duire l'astrologie � une s�rie de coups pr�visionnels. � � Andr� Barbault est obs�d� par l'id�e que l'URSS et les USA fassent au moins jeu �gal. Faute pour l'URSS de d�passer l'Am�rique, il annonce encore en 1987 (L'Astrologue n�80) la confrontation entre les deux "empires" et ce pr�cis�ment pour les ann�es 1988-92, ann�es de la conjonction Saturne Neptune mais aussi de celle de Saturne et d'Uranus et d'Uranus-Neptune mais l� encore le d�clin de l'URSS emp�chera que cela se produise et d'ailleurs en 89, les Etats Unis ne joueront qu'un r�le assez secondaire. Et inversement quant � 1991, les russes ne seront eux-m�mes que des spectateurs forc�s � la neutralit� dans la Guerre du Golfe. 3.����� L'�re GorbatchevFin 1987, alors que Gorbatchev est d�j� au pouvoir, A. B. publie un article dans sa revue. Il y est question pour 1989 des relations russo-am�ricaines puisque en cette ann�e l� deux cycles se rejoignent. Or, le paradoxe, c'est que c'est pr�cis�ment � partir de 1990 et de la Guerre du Golfe que l'on consid�re qu'il n'y a plus d�sormais qu'une seule super puissance�! Barbault lui aussi a compl�tement perdu son pari�! Dans son "Histoire d'une Pr�vision" (L'Astrologue, 4e trimestre 1989), A. B. ne sait pas encore que quelques mois plus tard, la marginalisation de l'URSS va se confirmer de fa�on �clatante sur la sc�ne mondiale. Certes, il se passe des choses importantes dans le bloc communiste autour de 1989 mais exactement en sens inverse de ce que Barbault avait annonc�. Pour donner l'impression qu'il a r�ussi, il est oblig� de r�duire son propre discours � un propos insignifiant�: on passe d'un d�passement des USA par l'URSS �. une date importante dans l'histoire de l'URSS puis pour la paix du monde�!�!�! Mais alors, la question reste pos�e�: est-ce que dans son ensemble le cycle Saturne-Neptune est ou non valable�? Car ce pronostic pour 1989 n'a de sens, du point de vue astrologique, que s'il s'inscrit dans une s�rie pass� et � venir satisfaisante. Il y aurait donc r�ussite dans les dates et �chec dans le pronostic de ce � quoi ces dates correspondraient. Mais si l'�v�nement annonc� n'a pas eu lieu, quel sens pourrait avoir de dater un non �v�nement ou un contre-�v�nement�? Imaginons l'effet qu'un tel pronostic pourrait avoir � l'�chelle individuelle. Il n'y a m�me pas eu de guerre, avec un vainqueur et un vaincu, c'est le bloc communiste qui est tomb� tout seule, de ses propres contradictions. Encore faudrait-il situer cela au sein d'un cycle des d�colonisations et des ind�pendances. Au fond, A. B. aurait eu la chance que la date annonc�e coincide avec un autre cycle qu'il n'a jamais �tudi�! Bien plus, peut-on s�rieusement, r�trospectivement, faire un lien entre 1989 et 1953�? Est-ce que la mort de Staline mit fin alors � la domination de l'URSS sur l'Europe de l'Est�? D�s 1956, la r�pression sovi�tique en Hongrie d�montrait le contraire et il faudra attendre pr�cis�ment jusqu'en 1989 pour que les choses changent�! Pr�diction ou pr�vision�? En ce qui concerne la date avanc�e de 1989 s'agit-il d'une pr�vision articul�e sur un syst�me coh�rent ou bien d'une date obtenue par hasard voire par on ne sait quelle intuition ne relevant pas stricto sensu de l'astrologie�? On pense au Varennes de Nostradamus. Dix ans apr�s 1989, force est de constater que cette date n'a pas constitu� le d�but d'un nouveau cycle pour la Russie. Il n'y a pas eu apr�s la d�stalinisation qui aurait d�but� � la mort de Staline en 1953, un nouveau r�gime militaire, par exemple. 1989 n'a pas �t� marqu� par une entente entre l'URSS et les USA pour le gouvernement du monde. Depuis l'�poque de Gorbatchev, dans les ann�es Quatre Vingt, la Russie n'a pas, avec Eltsine et Poutine, chang� de r�gime quinze ans plus tard�! Le pouvoir n'est pas pass� aux mains des g�n�raux du type Lebed. Il semble bien que les �v�nements des ann�es 88 - 89 appartiennent � un autre cycle que celui d'Uranus Neptune. Ceux-ci rel�veraient, bien plus t�t, on l'a dit, de la d�colonisation, ce qui n'est nullement propre aux dates de ce cycle, comme on l'a montr� Ce processus frappe alternativement tel ou tel empire. Et d'ailleurs, la meilleure preuve que les �v�nements ne sont pas propres � la Russie est qu'ils ont lieu ailleurs comme ce fut le cas en 1988 en Isra�l avec l'Intifada.(voir notre article in Ayanamsa 2000) Car le probl�me de cette affirmation d'un cycle r�serv� � un seul pays est que cela est falsifiable, cela exige que l'onde de choc s'arr�te aux fronti�res. 4.����� L'avenir du cycle Saturne-NeptuneEn bonne logique, A. B. aurait du tout tabler sur ce cycle, le seul qui ait vraiment fait ses preuves et m�me consacrer un livre entier � ce seul cycle. Or, il n'en est rien. Bien au contraire, lorsque A. B. parle du d�but du XXIe si�cle, il n'accorde au cycle Saturne-Neptune qu'une place bien modeste parmi d'autres cycles pourtant moins bien valid�s. Attitude somme toute surprenante comme si n'aurait pas suffi � sa gloire la mise en �vidence de la r�alit� d'une influence plan�taire sur l'Histoire des hommes. Mais peut-�tre pense-t-il que c'est tout ou rien et que si tel cycle "marche", il doit en �tre de m�me de tous les autres... L'astrologue a besoin en outre d'un certain recul�: en 1989, sous l'excitation de la r�ussite, A. B., dans le N� 89 de l'Astrologue (p. 19) n'h�site pas � baliser les vingt ans � venir sur la base du cycle Saturne-Neptune. Mais il ne semble pas qu'il ait eu le sentiment d'avoir r�ussi ses pronostics car il ne s'en fera pas l'�cho dix ans plus tard, en 1998, dans ses ��Pr�visions astrologiques pour le nouveau mill�naire�� (p. 192)�: ��Ce cycle (Saturne-Neptune) qui avait incarn� l'id�al communiste d'une population laborieuse revient donc � la charge sous un jour nouveau de type coop�ratif�; l� o� le marxisme d'Etat a tragiquement �chou�...�� Mais d�j� en 1993, dans l'Avenir du Monde (Editions du F�lin), le discours s'�tait �dulcor�: ��La conjonction Saturne-Neptune est surtout (sic) expressive d'une promotion des couches inf�rieures de la population mondiale etc.��(p. 202) On tombe dans l'insignifiance�! Exit la Russie, bonjour la g�n�rosit� sociale�: on est pass� du communisme au socialisme bon teint�! Or la Russie existe toujours, on le sait avec le recul que n'avait pas encore A. B. qui r�agit trop souvent � chaud, parfois plus en journaliste qu'en historien. Parall�lement, A. B., � partir de Les Astres et l'Histoire, traite de l'indice de concentration plan�taire et annonce une tr�s grave conflagration pour la premi�re moiti� des Ann�es 1980. Sur la quatri�me de couverture de l'Astrologie Mondiale, en 1979, il est indiqu�: ��Que nous r�servent les ann�es 1980�? Une �tape capitale pour le communisme et l'Union Sovi�tique � la nouvelle conjonction Saturne-Neptune de 1989. De 1981 � 1984, cinq conjonctions se renouvelleront entre les cinq plan�tes lentes qui, en 1982-1983, seront rassembl�es en une zone d'exceptionnelle concentration �: celle-ci qui se reproduit tous les cinq si�cles (�) annonce une phase particuli�rement importante de l'histoire du monde.�� Or, que penser d�s lors de la pr�vision pour 1989 qui fait suite � ces ann�es annonc�es comme catastrophiques et qui le seront beaucoup moins que Barbault a voulu le laisser entendre�? Est-ce que ces ann�es de concentration plan�taire n'�taient pas a priori susceptibles de marquer l'URSS plus encore que cette ann�e 1989�? C'est un peu comme ce proph�te qui annonce la fin du monde et qui traite de l'avenir au del� de cette date comme si de rien n'�tait�! Barbault a-t-il annonc� que la troisi�me guerre mondiale du d�but des ann�es 80 �pargnerait l'URSS�? C'�tait hautement improbable. Si les choses s'�taient pass� comme pr�vu par A. B. nul doute que l'URSS eut aussi travers� des heures graves. On voit donc l� cohabiter plusieurs �ch�ances li�es � des syst�mes pr�visionnels distincts chez le m�me auteur. Mais, jusqu'� quel point, l'�chec d'une pr�vision, chez celui-ci, peut-il compenser l'apparente r�ussite d'une autre�? 5.����� Une r�volution oubli�e�: 1905Comment un historien du communisme r�agit-il quand il voit l'historique propos� par Barbault concernant son �tude du cycle Saturne-Neptune puisque c'est ce cycle que Barbault assigne au communisme et qui serait la clef de son devenir�? Nous avons eu l'occasion d'�tudier la question des deux r�volutions � propos des Protocoles des Sages de Sion, dans notre th�se d'Etat, le Texte proph�tique en France, (cf. article sur ce texte antis�mite, en anglais, in Jewish studies, 2000). C'est en r�alit� autour de la R�volution de 1905 (F.X. Coquin. La r�volution russe manqu�e, Paris, Ed. Complexe, 1985 et Colloque "1905. La premi�re r�volution russe", Paris, 1986) qui aboutit notamment � la cr�ation d'une Douma que l'on consid�ra d'abord que ce texte antis�mite rev�tait un caract�re proph�tique. Par la suite, l'on se reporta sur celle d'Octobre 1917 qui en �tait la r�p�tition � une autre �chelle. Donnons d'abord la parole � A. B. narrant les grandes �tapes du communisme, et faisons abstraction des correspondances astronomiques qu'il place en vis � vis. A. B. d�cr�te qu'un nouveau cycle pour la Russie commence en 1917. Mais il prend ses d�sirs pour des r�alit�s, tout simplement en raison de la conjonction Saturne-Neptune, l'Histoire n'a qu'� suivre�: "1882.... 1917....1952 " et il poursuit�: "Donc 1917, c'est la conjonction et avec elle la prise de pouvoir" En 1973, dans le Pronostic exp�rimental en astrologie (Payot), A. B. pariait encore sur les �tapes successives � et pas seulement la conjonction et l'opposition � du cycle Saturne Neptune. Il ne s'y essaiera plus avant 1989. Ce qui frappe le lecteur, c'est qu'� propos de ce cycle (pp. 149-150), A. B. ne dit rien pour 1971-1972 alors que l'ouvrage parait en 1973 et pour les ann�es � venir, il se contente d'�num�rer les aspects mais ne donne aucun pronostic. Bizarre�! On sent quand m�me une g�ne dont il s'expliquera... en 1989 sur la d�ception de l'opposition pour 1971. En 1973, A . B. ne veut pas encore faire le bilan et constater l'�chec alors il pr�f�re ne rien inscrire. Quant � sa pr�vision du d�passement des USA par l'URSS, il ne reste plus qu'une modeste note�: sextil (1959)�: ��p�riode d'essor �conomique sans pr�c�dent et de sup�riorit� technique et scientifique��. Mais cette p�riode, combien de temps dure-t-elle�? Est-ce une "longue" ou une "courte" p�riode�? A. B. navigue entre les phases de 36 ans et celles de 2/3 ans. C'est selon. Cela permet de limiter les d�g�ts des extrapolations�: oui en 1959, il y avait un essor extraordinaire et c'est d'ailleurs pour cela qu'AB a fantasm� sur 1971. Il traite de l'�conomique comme du politique alors que l'�conomique est � long terme�! M�lange des genres�! Exit en fait l'�conomique qui est trop casse cou, bonjour le politique avec ses revirements constants, ce qui limite les d�g�ts. Quand on se trompe de tendance, c'est toujours par anticipation en politique alors qu'en �conomie, cela risque d'�tre r�dhibitoire de fa�on d�finitive. Tout se passe comme si, � lire Barbault, la R�volution de 1905 n'avait pas exist�, comme si elle n'avait pas �t� une r�p�tition g�n�rale. Comment A. B. peut-il faire abstraction dans son descriptif de cette date�? Comment, en fait, peut-il d�limiter son �tude � 1917�? Comment une Mich�le Reboul, en 1978, dans ses Entretiens, ne lui fait-elle pas remarquer une telle lacune�? Cette �clipse de la r�volution de 1905 n'a jamais �t� signal�e, � notre connaissance ni par Barbault, ni par ses lecteurs, ce qui en dit long sur l'esprit critique de ce public. Comment ignorer que les deux r�volutions sont coupl�es et que l'une pr�pare en quelque sorte la seconde�? Un Trotsky[2], notamment, a particip� aux deux r�volutions et la premi�re fut, selon l'expression m�me de L�nine, une r�p�tition g�n�rale de la seconde. L'affaire du Potemkine, reprise par Eisenstein, dans un film, est de 1905. Plus grave, si 1917 est l'aboutissement de 1905, il n'y a pas � chercher d'aboutissement pour 1917�! La boucle est boucl�e et un nouveau cycle commence dont les enjeux seraient � d�finir. La mort de L�nine aurait assez bien convenu pour d�terminer une nouvelle phase, qui pourrait �tre appel�e stalinienne. Or, Yves Lenoble, dans son ouvrage sur les cycles (Ed. de l'ARRC), commentant Barbault, veut faire d�marrer cette p�riode stalinienne � 1917, ce qui permettrait de donner du sens � l'�ch�ance de 1953. Refuser la dualit� 1905-1917, c'est ne pas comprendre que l'astrologie a pour vocation de situer une activit� au sein d'un cycle, avec en effet une phase pr�paratoire, une phase de maturation et une phase de conclusion et de renouvellement. Si l'astrologie a un discours � tenir sur l'Histoire, c'est bien celui de la r�p�tition. (cf. P. L. Assoun, La r�p�tition historique chez Marx, PUF, Reed 1999). D'autant que Barbault va retenir des �v�nements infiniment moins importants pour correspondre aux aspects successifs qui rythment le cycle Saturne-Neptune. En d�pit des publications successives que A. B. va consacrer � l'astrologie mondiale, il ne parviendra- ou ne tentera - jamais d' ins�rer 1905 dans son tableau�! Ce qui montre le carcan du syst�me utilis� (cf. notre article in La lettre des Astrologues, 2000) Or, entre 1881 et 1917, s'il fut une date importante, c'est bien celle de 1905. Malheureusement, elle ne correspond pas � l'opposition interm�diaire qui a lieu en 1897....Notons d'ailleurs 1881- 36 ans avant 1917 qu' A. B. aurait pu, au demeurant, citer l'assassinat du tsar Alexandre II. Il ne l'a pas fait. 6.����� L'expansion sovi�tique en EuropeLa Russie n'a nullement disparu en 1989�! Et c'est l'URSS qui a �clat� et non la Russie qui en est de tr�s loin la partie centrale et la plus massive, d'autant que les anciennes r�publiques de l'URSS en restent largement d�pendantes., �chappant pour l'heure � l'attraction de l'Union Europ�enne. Si les Etats d'Europe de l'Est ont retrouv� une ind�pendance perdue au lendemain de la Seconde Guerre Mondiale, la Russie reste ce qu'elle est et son destin ne s'est pas arr�t�. A ce propos, si 1989 a vu certains pays s'�manciper du joug sovi�tique, on aurait pu s'attendre � ce que le m�me cycle ait fix� le moment de leur asservissement et ce ne fut pas 1953 mais plut�t les ann�es 1946-1948, en raison de l'occupation sovi�tique li�e � la fin de la Seconde guerre mondiale. La domination sovi�tique en Europe de l'Est n'a pas commenc� ni encore moins cess� en 1953 � les �v�nements de Hongrie en 1956 et de Tch�coslovaquie en 1968 en t�moignent � et par cons�quent 1989 ne saurait faire pendant � cette date. Il faudrait la dater du reflux de l'arm�e allemande apr�s Stalingrad, en 1942. On aura probablement grossi l'importance pour l'avenir de 1989. Cela n'est pas plus important, en tout cas, que la perte par la France de ses colonies�! Or, voil� que Barbault d�cide que le communisme s'est effondr� et qu'il n'y a donc plus de se servir du cycle Saturne Neptune � son endroit�! Logiquement, les astres se doivent de fixer le d�but et la fin d'un processus. A vrai dire, il nous semble que ces deux dates de 1917 et de 1953 sont des dates interm�diaires ou en tout pas des dates de commencement de cycle�: 1917 vient � la suite de 1905 qui devrait donc �tre "conjonctionnel" et 1953 est bien moins pertinent par rapport � 1989 que les ann�es 1940 (1942-1948) point de d�part de la domination sovi�tique qui s'ach�ve pr�cis�ment en 1988-1989. �Avec un recul de dix ans, on est amen� � relativiser l'importance de cette perte des pays satellites pour la Russie, et la r�volution de 1917 - tout comme celle de 1905 - concernait la seule Russie. 1989 n'a pas sonn� le glas de la Russie, n'a pas non plus plac� la Russie sur le m�me plan que les Etats Unis, n'a pas davantage rapproch� l'une de l'autre. Aucun des sc�narios envisag�s par Barbault ne s'est r�alis�. On ne peut m�langer Russie et bloc communiste et surtout il ne faut pas lier les �v�nements du lendemain de la Seconde Guerre Mondiale avec ceux du d�but du XXe si�cle. A vrai dire si l'on revient sur le pronostic de l'Yonne R�publicaine, du Ier janvier 1953, que faut-il comprendre de la formule�: "Du fait que le parti communiste russe est n� sous la conjonction de 1881 et qu'il a pris le pouvoir � celle de 1917, on doit penser que l'ann�e 1953 sera capitale pour l'URSS" A la rigueur, on pourrait consid�rer l'expansion du communisme sovi�tique au del� des fronti�res de la Russie comme un �tape essentielle mais... Elle n'eut pas lieu en 1953. Comment A. B. ne s'est-il pas rendu compte qu'il ne prenait pas en compte ce qui s'�tait pass� sous ses yeux au cours des derni�res ann�es�? La r�ponse est simple�: il ne voulait voir l'Histoire qu'au travers les lunettes d'une certaine astrologie. Etrangement A. B. semble ne pas accorder toute son importance � l'expansionisme sovi�tique d�s 1939 � moins qu'il ne souhaite pas signaler cette affaire d�licate du rapprochement entre Hitler et Staline qui perturba les communistes fran�ais�: pas un mot de l'invasion conjugu�e de la Pologne, du fait du pacte germano-sovi�tique ni d'ailleurs des "r�volutions" communistes en Europe de l'Est, � la fin des ann�es 1940, qui sont l'expression d'une v�ritable conqu�te. (voir La crise mondiale, pp. 92-93). Or, c'est bien cela qui justement sera remis en jeu en 1989�! On nous parle de la fin de quelque chose dont on n'a pas bien situ� l'origine. Certes, A. B. s'est �galement consacr� � une typologie �v�nementielle, avec l'indice de concentration. Mais est-ce que la dialectique guerre/paix est vraiment pertinente�? Ne vaut-il pas mieux classer les conflits en plusieurs cat�gories�? Cette polarisation sur la "paix" rel�ve presque d'une vision mythique de l'Histoire et on rappellera que la propagande russe a tr�s fortement investi le mot "paix", ses adversaires apparaissant toujours comme ceux qui menacent la paix du monde. Toujours la rh�torique communiste�! Il importe que le chercheur en astrologie mondiale commence par analyser le terrain avant de chercher une corr�lation plan�taire�: tout se passe comme si A. B. avait d�fini d'une part une philosophie cyclique de l'Histoire, faite d'�tapes successives et de l'autre un mod�le plan�taire, sans �tre parvenu � ajuster ces deux niveaux. Barbault utilise une grille qui fait alterner les moments de crise et les moments de progression et ce un an sur deux environ, par le jeu des aspects. N'est-ce pas l� un rythme trop rapide et qui reste � la surface des choses�? ConclusionIl semble bien que Barbault, dans les ann�es Cinquante, de m�me qu'il a souhait� relier l'astrologie � la psychanalyse freudienne, a �t� tent� de se servir du marxisme pour refonder l'astrologie mondiale. Il est assez remarquable de voir Barbault commenter son propre texte sur Saturne-Neptune et s'accorder un satisfecit. Apparemment, c'est "le" pronostic de sa carri�re. Pour aucun autre, A. B. n'aura fait une telle r�trospective. Il lui aura fallu attendre l'�ge de 70 ans ou presque pour enfin toucher dans le mille�! Il revient de loin, depuis la d�convenue de 1971 et plus g�n�ralement, par del� l'erreur de date, la croyance utopique du d�passement historique des USA par l'URSS vou�e � ne jamais se r�aliser�! Il y a ceux qui se trompent dans la date d'une guerre mais au moins la guerre existe mais A. B. lui annonce un non-�v�nement�! Qu'est ce qui est pire�: annoncer un �v�nement qui n'aura pas lieu � comme Barbault pour la Troisi�me Guerre Mondiale � ou ne pas annoncer un �v�nement qui aura lieu. Barbault s'est beaucoup moqu� de ces astrologues d'avant guerre � pas la sienne, mais la vraie � qui ont manqu� le conflit. Mais la question reste ouverte�: cette guerre �tait-elle in�vitable et d�finitivement �crite dans le ciel�? Comment peut-on reprocher quelque chose qui aurait pu �tre �vit�? De m�me, d'ailleurs, que rien ne prouve que la premi�re Guerre Mondiale �tait in�vitable. C'est l� une vision somme toute assez na�ve de l'Histoire. C'est justement le syndrome de la recherche r�trospective qui conduit � rechercher une justification de ce qui s'est finalement pass� Il importe que le chercheur connaisse de tr�s pr�s tous les tenants et aboutissants et pas seulement ce qui s'est produit au bout du compte. Mais d'un autre c�t�, est-ce une si bonne chose de faire des pr�visions en astrologie mondiale plut�t que de rendre compte de la succession des �v�nements�? Il est � craindre que l'astrologue ne s'implique trop personnellement et cherche ensuite � n'importe quel prix � interpr�ter ce qui se produit dans le sens de sa pr�vision. Par ailleurs, encore faudrait-il user, pour qualifier les rendez-vous annonc�s, d'un langage un peu moins simpliste que le terme "important"�; on pr�f�rerait une typologie un peu plus �labor�e. Quant � l'attribution de tel cycle � tel pays, cela nous laisse perplexe�: nous ne croyons pas � un tel compartimentage. Le malheur des uns faisant le bonheur des autres, un cycle concerne automatiquement deux camps adverses, il est n�cessairement ambivalent, favorisant alternativement les camps en pr�sence. D�s 1976, dans Clefs pour l'astrologie, parues chez Seghers (pp.158-160), nous avions avanc� la date de 1988 comme devant correspondre � une p�riode de d�colonisation, � la mise � mal des empires. A. B. ne mentionne pas notre travail bien qu'il en ait fait la critique dans l'Astrologue. Il ne s'en fait pas davantage l'�cho � propos de la r��dition de 1993, lorsque, nous commentons les �v�nements r�cents (pp. 134-138). A lire A. B., on a l'impression qu'il est le seul � �crire sur ce sujet ou que son approche est la seule digne d'�tre comment�e. Hors de l'astrologie selon A. B., point de salut�!. Donc, en 1976, dans Clefs, nous montrions que le passage de Saturne au d�but du Cancer et du Capricorne correspondait toujours � une phase de 7 ans environ de d�membrement des empires, de par le monde. Or, en 1988, Saturne entrait en Capricorne�! Nous ne d�signions certes pas l'URSS pour 1988 mais notre syst�me "pr�voyait" le type d'�v�nements auxquels l'URSS fut confront�e. On nous fera remarquer que peut-�tre l'astrologie ne peut pas aller au del� d'un certain seuil de pr�cision et que le bilan barbaultien reste somme toute globalement positif... C'est oublier ou ne pas vouloir comprendre qu'en de�� d'un certain seuil, les r�sultats obtenus ne sont tout simplement pas significatifs et rel�vent du hasard qui fait se rencontrer les mots et les choses... Il �tait important de montrer de quelle fa�on l'astrologue �tait marqu� par les id�ologies r�gnantes. � J. H. Le 3 juillet 2001� | |||||
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