Vos analyses démêlent avec brio l’enchevêtrement des causes qui ont produit la représentation de la femme-sorcière.
En les lisant , j’ai pensé au très beau film de Carl Dreyer, Jour de colère qui suggère aussi une face subjective du rôle de sorcière lequel met certes la femme en danger de mort mais l’arrache à la passivité à laquelle la voue le mépris de Dieu et des hommes.La sorcière a bien pu être , pour certaines femmes, un modèle fascinant et exaltant.
Ce qui n’infirme en rien vos dires qui m’ont beaucoup appris. Merci.