L’histoire ! Elle souffre en silence. Quoi dire d’autre, si c’est peu dire ? L’histoire à quelque part un peu de responsabilité dans le drame qui la prend. Son drame, elle le doit justement à son silence, elle reste magnanime avec la vermine, les conquérants et les seigneurs des guerres qui ont modifié l’originalité des peuples et saccagé leurs personnalités. Par ses lois, la nature a séparé les continents, eux les ont éclatés.
On dit des fascistes qu’ils sont condamnés par l’histoire, pfft, laissez moi rire. À quoi (...)