Nous avons sûrement à repenser la catégorie de l’universel.Il est bien vrai que, jusqu’à présent, c’est l’occident qui, solidement calé contre ses succès scientifiques et techniques, s’est arrogé le droit de penser au nom de l’humanité. Mais l’approfondissement et l’affinement des connaissances en histoire, en archéologie, en ethno :ogie, et les problèmes posés par la mondialisation exigent une mise en perspective de nos postulations culturelles. C’est l’humanisme qui est à refonder et à reconstruire... Les jeunes générations ont besoin d’avoir nerfs solides, tête bien faite et coeur ouvert !
Mais que peuvent vos-nos libres propos face à la sous-culture foot-ball, à la régurgitation de tous les archaïsmes ?
Courage et générosité !
Yvette Reynaud-Kherlakian