La lecture de la riche et abondante littérature anthropologique consacrée à l’art des peuples africains insiste toujours et constamment sur des thématiques courantes devenues quasi universelles. Le regard des différents auteurs eux-mêmes, qu’ils soient occidentaux ou qu’ils soient africains sub-sahariens, s’avère comme incapable de varier de perspective.